Si vous désirez en savoir plus sur la sombre histoire du Docteur l’Indienne alias François Marois, nous vous invitons à jeter un oeil sur le très intéressant blogue de Vicky Lapointe. Elle y offre de précieuses informations et des références précises : http://tolkien2008.wordpress.com/2010/02/20/histoire-judiciaire-le-docteur-lindienne-un-meurtrier-en-serie-st-jean-port-joli-1829/
Si vous désirez en savoir plus sur la légende entourant ce personnage, nous vous invitons à vous plonger dans la lecture de L’influence d’un livre de Philippe Aubert de Gaspé fils (1837). Ce roman s’inspire largement du meurtre de Marois (ici renommé Lepage).
Nous avons également évoqué le site Internet Les Grands Mystères de l’histoire canadienne hier soir. Bien qu’on n’y retrouve pas d’informations sur le Docteur l’Indienne, on y trouve plusieurs affaires intéressantes de l’histoire criminelle canadienne. Quelle est la véritable histoire derrière la mort de la petite Aurore en 1920? La peintre Tom Thomson est-il mort accidentellement ou l’a-t-on assassiné? Qu’est-ce qui a poussé Herbert Norman, ambassadeur canadien en poste au Caire, à se donner la mort en sautant du haut d’un édifice du Caire en pleine Guerre froide? Pour en savoir plus sur ces sombres affaires, allez faire un tour du côté de ce site : http://www.canadianmysteries.ca/fr/
« La lumière qui brûlait sur la table laissait échapper une lueur lugubre qui donnait un relief horrible à son visage sinistre enfoncé dans l’ombre; relief horrible, non par l’agitation qui se peignait sur des traits d’acier, mais par le calme muet et l’expression d’une tranquillité effrayante. Il se leva de nouveau, s’avança près d’une armoire et en sortit un marteau qu’il contempla avec un sourire de l’enfer: le sourire de Shylock, lorsqu’il aiguisait son couteau et qu’il contemplait la balance dans laquelle il devait peser la livre de chair humaine qu’il allait prendre sur le cœur d’Antonio. Il donna un nouvel éclat à sa lumière; puis, le marteau d’une main et enveloppé dans les plis de son immense robe, il alla s’asseoir près du lit du malheureux Guillemette. » (Philippe Aubert de Gaspé, L’influence d’un livre, chapitre 3).